Observatoire
de la LGV BPL

En créant l’observatoire de la LGV BPL, Eiffage Rail Express va au-delà des suivis réglementaires et témoigne de son engagement sociétal sur le long terme au service de l’aménagement des territoires.

Quatre objectifs, deux volets

Afin de mesurer les effets durables de la ligne sur les territoires traversés, un observatoire a été mis en place dès 2012 et pour une durée de 10 ans. Son travail doit ainsi se poursuivre au moins jusqu’en 2022. Regroupant diverses parties prenantes locales, sous la gouvernance de l’Etat (DREAL), SNCF Réseau et Eiffage Rail Express, cette instance analyse les enjeux et opportunités liés à l’arrivée de la LGV, tant sur le plan environnemental que socio-économique.

C'est une réelle valeur ajoutée par rapport au bilan LOTI, puisque l’observatoire permet d’assurer un monitoring environnemental et socio-économique sur le long terme, et de recourir à des protocoles et moyens d’observation plus complets, voire nouveaux.

Ses objectifs sont :

  • d’assurer le suivi socio-économique et environnemental de la ligne à grande vitesse, en phase de travaux comme en phase d'utilisation de l'infrastructure ;
  • d’évaluer les incidences sociales du projet et sa perception par les opinions publiques ;
  • de fournir une information transparente des effets directs et indirects de la ligne sur les territoires concernés ;
  • d’améliorer la conception et l'intégration des futurs projets ferroviaires.

L’observatoire s’attache à donner régulièrement la parole aux parties prenantes des territoires concernés par la LGV, aux élus ou encore aux experts scientifiques mobilisés. En ce sens, il est un instrument scientifique de première importance pour l’aménagement du territoire.

Composé d’une direction opérationnelle, d’un comité d’orientation et de deux comités d’experts, l’observatoire est divisé en deux entités :

  • un volet environnemental, piloté par Egis ;
  • un volet socio-économique, piloté par le groupement Setec – ESO.

Comment est organisé l'observatoire de la LGV BPL ?

Socio-économique

Ce volet est dédié à l’analyse des effets sociétaux et économiques du chantier et de l’utilisation de la ligne, selon les quatre axes suivants :

  • retombées économiques du chantier, notamment en matière d’emploi et de compétences ;
  • effets sur les activités économiques tels que le tourisme et l’agriculture ;
  • effets sur les mobilités et les transports ferroviaire, routier et aérien ;
  • analyse de l’attractivité et des dynamiques territoriales.

Environnemental

Ce volet s’attache à mesurer l’empreinte écologique de la LGV selon deux grands axes :  

  • effets de la LGV BPL sur le territoire, afin d'étudier les relations entre infrastructure, paysages et agriculture ;
  • impact de la LGV BPL sur la biodiversité, en particulier les amphibiens, les chauves-souris et la loutre.

Quatre objectifs, deux volets

Afin de mesurer les effets durables de la ligne sur les territoires traversés, un observatoire a été mis en place dès 2012 et pour une durée de 10 ans. Son travail doit ainsi se poursuivre au moins jusqu’en 2022. Regroupant diverses parties prenantes locales, sous la gouvernance de l’Etat (DREAL), SNCF Réseau et Eiffage Rail Express, cette instance analyse les enjeux et opportunités liés à l’arrivée de la LGV, tant sur le plan environnemental que socio-économique.

C'est une réelle valeur ajoutée par rapport au bilan LOTI, puisque l’observatoire permet d’assurer un monitoring environnemental et socio-économique sur le long terme, et de recourir à des protocoles et moyens d’observation plus complets, voire nouveaux.

Ses objectifs sont :

  • d’assurer le suivi socio-économique et environnemental de la ligne à grande vitesse, en phase de travaux comme en phase d'utilisation de l'infrastructure ;
  • d’évaluer les incidences sociales du projet et sa perception par les opinions publiques ;
  • de fournir une information transparente des effets directs et indirects de la ligne sur les territoires concernés ;
  • d’améliorer la conception et l'intégration des futurs projets ferroviaires.

L’observatoire s’attache à donner régulièrement la parole aux parties prenantes des territoires concernés par la LGV, aux élus ou encore aux experts scientifiques mobilisés. En ce sens, il est un instrument scientifique de première importance pour l’aménagement du territoire.

Composé d’une direction opérationnelle, d’un comité d’orientation et de deux comités d’experts, l’observatoire est divisé en deux entités :

  • un volet environnemental, piloté par Egis ;
  • un volet socio-économique, piloté par le groupement Setec – ESO.